Conférence de Gérard Loubinoux Enprélude à la représentation du jeudi 29 Décembre au Grand Théâtre de Genève
D’un point de vue historique, Marie Stuart (1542-1587), catholique et reine d’Ecosse est cousine de la reine d’Angleterre Elisabeth 1ère (1533-1603), protestante et fille d’Henri VIII et d’Anne Boleyn (1500-1536).
Après « Anna Bolena », « Maria Stuarda » est le deuxième opéra de Donizetti consacré à la dynastie des Tudors. Il prend comme modèle une pièce de Schiller. Au début de l’opéra, Marie Stuart s’est enfuie de son royaume et a été emprisonnée par Elisabeth 1ère.
CANDIDE de Léonard Bernstein « Un conte pour notre temps ? »
Une courte Introduction audiovisuelle d’Hubert Grégoire Enprélude à la représentation du Dimanche 18 Décembre à l’Opéra de LYON
CANDIDE fut certainement en son temps comme l’écrit un commentateur, le meilleur des livres pour » le meilleur des »mondes « .
C’est à Genève dans son domaine des Délices en 1758 que Voltaire écrivit son conte philosophique. Léonard Bernstein, Chef d’Orchestre charismatique, musicien protéiforme, enseignant inspiré mais surtout humaniste engagé dans la Vie du Monde, en tira une œuvre géniale mais inclassable -ni Opéra, ni Opérette, ni Musical- où se croisent les influences européennes et américaines et où quelquefois Mahler côtoie Broadway, la Comédie la critique politique et où le Grand Colorature de Cunégonde voisine dans une exubérance virtuose avec un écho-hommage au Final de la Symphonie Résurrection.
Théâtre de L’Échange 26 Rue Sommeiller à ANNECY « CÉSAR FRANCK » (1822-1890) ou » un créateur entre mystique et sensualité »
Conférence audiovisuelle proposée par Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin
Bien peu de mélomanes connaissent la vraie personnalité de celui que les habitudes réductrices ont surnommé Pater Seraphicus.
Certes, si ses convictions et sa production abondante ont fourni au répertoire liturgique, religieux, voire spirituel quantité de pièces de noble grandeur (Les Béatitudes, Rédemption), s’il a ouvert à l’Orgue des perspectives quasi orchestrales que prolongeront Louis Vierne, Charles-Marie Widor et plus tard Marcel Dupré, ses œuvres profanes révèlent un romantisme passionné, quelquefois tourmenté comme ses poèmes symphoniques : Le Chasseur Maudit, les Djinns (d’après Victor Hugo), pur chef d’œuvre de figuralisme littéraire. Sans oublier sa symphonie que les Grands orchestres internationaux inscrivent régulièrement à leur répertoire comme les violonistes on fait de sa Sonate un « tube « incontournable » de leur programmation.
A l’occasion des 200 ans de sa naissance, Patrick Favre-Tissot-Bonvoisin vous convie à faire plus ample connaissance avec le plus français des liégeois