THAIS
Philippe Commentaires 1 commentaire
Dimanche 17 Novembre 2024 à 15 heures
OPÉRA DE SAINT–ÉTIENNE
THAÏS
Opéra en trois actes de Jules Massenet
dont le livret est basé sur un roman d’Anatole France.
Thaïs se déroule en Egypte et raconte l’histoire d’une courtisane célèbre d’Alexandrie et du moine Athanaël qui tente de la convertir au christianisme. L’opéra explore des thèmes tels que la rédemption, la lutte entre la spiritualité et la sensualité et la transformation personnelle.
La jeune soprano Ruth Iniesta interprète Thaïs, Jérôme Boutillier, un habitué de Saint-Etienne, interprète Athanaël, le moine qui tente de convertir Thaïs au christianisme. Léo Vermot-Desroches, révélation « Artiste lyrique » des Victoires de la Musique 2024, interprète Nicias, l’amant de Thaïs.
Cette création est mise en scène par Pierre-Emmanuel Rousseau, artiste rompu à l’art lyrique qui,après avoir signé des dizaines de productions, assure enfin sa première création à Saint-Etienne !
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est un geste inouï traduisant la cruauté du monde. La mise en scène de Richard Brunel soulignera la pertinence de l’œuvre pour notre époque : dans un environnement de surveillance accrue– en référence au film The Truman Show, Wozzeck se débat dans un labyrinthe mental, métaphore de notre société contemporaine. Un drame halluciné dans lequel Daniele Rustioni conduira notre grand baryton Stéphane Degout et la soprano canadienne A.Braid qui avait triomphé dans La Femme sans Ombre. (d’après l’Opéra de Lyon).

Wagner sublime ses propres amours interdites (par exemple avec Mathilde Wesendonck) à travers la légende celtique de Tristan et Yseult, que la littérature médiévale a élevée au rang de mythe. La partition porte à l’incandescence la passion entre le chevalier mélancolique et la princesse indomptable, usant du chromatisme irrésolu comme d’un philtre de désir inassouvi. La « mélodie infinie » qui se répand de la voix à l’orchestre mène quant à elle de façon quasi hypnotique l’œuvre jusqu’à son paroxysme final : le Liebestod d’Isolde, ultime sacrifice d’amour.
Quatrième opéra de Puccini, La Bohème est devenue l’un des chefs-d’œuvre de l’opéra italien.
« Pour refermer la trilogie des Tudors, (après Anna Bolena et
Si ce compositeur italien né en 1911 et mort en 1979 a à son répertoire « classique » opéras, symphonies, concertos, musique de chambre, c’est son immense production pour le Cinéma qui l’a rendu populaire.
La Dolce Vita, Amarcord, Casanova….), mais aussi avec Luchino Visconti (Rocco et ses frères, le Guépard), Franco Zeffirelli (Roméo et Juliette) et bien sûr Francis Ford Coppola dont la musique du Parrain a été couronnée d’un Oscar. Une trompette nostalgique, une mandoline écrasée de soleil, les parades de cirque, les vastes accents romantiques ou
les ténébreuses mélodies des déchirements….voici quelques-unes de ces images sonores que nous ferons revivre -en toute simplicité-sur notre écran imaginaire.

Ce chef d’œuvre d’un jeune homme de 25 ans se construit autour d’une effroyable tempête en mer, résultat de la lutte entre le dieu des flots Neptune, qui favorise le Roi de Crète Idoménée à son retour de la Guerre de Troie et le destin qui l’oppose. Le Metteur en scène et chorégraphe Sidi Larbi Cherkaoui et sa scénographe Chiharu Shiota nous invitent à une méditation sur le pouvoir dans un décor monumental où
Après nous avoir fait voyager en France, en Italie, au Japon, en Chine, Giacomo Puccini nous emmène à la conquête de l’Ouest américain.