IDOMÉNÉE
Philippe Commentaires 0 Commentaire
DIMANCHE 25 FÉVRIER – 15 heures
GRAND THÉÂTRE DE GENÈVE
« IDOMÉNÉE ROI DE CRÈTE »
dramma per musica de Mozart
dirigé par Leonardo Garcia-Alarcon
Ce chef d’œuvre d’un jeune homme de 25 ans se construit autour d’une effroyable tempête en mer, résultat de la lutte entre le dieu des flots Neptune, qui favorise le Roi de Crète Idoménée à son retour de la Guerre de Troie et le destin qui l’oppose. Le Metteur en scène et chorégraphe Sidi Larbi Cherkaoui et sa scénographe Chiharu Shiota nous invitent à une méditation sur le pouvoir dans un décor monumental où les fils rouges du karma formerront en mouvement continu palais, océan déchaîné, jardin ou monstre marin.
A l’issue de la représentation, la Direction du Grand Théâtre vous offrira le privilège
exceptionnel, avec un certain nombre de spectateurs, d’être guidés pendant quelques
minutes dans les coulisses du spectacle.
Inscription ICI
DEL WEST
Après nous avoir fait voyager en France, en Italie, au Japon, en Chine, Giacomo Puccini nous emmène à la conquête de l’Ouest américain.
Par-delà le temps, l’espace et l’Histoire, trois Russes, Alexandre Pouchkine le poète, Piotr Ilitch Tchaïkovski le compositeur et Timofeï Kouliabine le metteur en scène, ouvrent le Festival 2024 avec le portrait bouleversant de Lisa.
Pour ceux qui, faute de place, n’avaient pu assister à ce désopilant spectacle en 2019, et pour ceux qui veulent le savourer enfin ou le redéguster (logique pour un Opéra-Bouffe !!), en famille et entre amis, comme cadeau de Noël, ne manquez pas cet ouvrage de Jacques Offenbach sur un livret de Meilhac et Halévy. Ces trois-là, de concert, s’en donnent à cœur joie pour faire de ce Barbe-Bleue fainéant et fanfaron une caricature des parvenus du Second empire animée par l’hilarante mise en scène de Laurent Pelly auquel on doit tant de souvenirs savoureux depuis Orphée aux Enfers, La Belle Hélène jusqu’à l’irrésistible Roi-Carotte.
Opéra en 4 actes, Le Trouvère a été créé au Théâtre Apollo de Rome le 19/01/1853.
ques de Turin et Sotchi, de 2 spectacles du Cirque du Soleil et de la dernière fête des Vignerons.
L’Empereur chasse une gazelle qui se métamorphose en femme sous ses yeux.
Continuant notre exploration du répertoire de Verdi, Lyria vous propose d’ouvrir sa saison avec ce Don Carlos qui, inspiré, par la pièce de Schiller, nous conduit au pays de l’honneur et de la démesure, l’Espagne de Philippe II, dominée par l’Inquisition. Verdi, entre sentiments et idéologies, s’empare de ces personnages pour « écarteler les coulisses du pouvoir et dénoncer le fanatisme religieux ». La metteuse en scène Lynda Steier, dans une proposition plus intemporelle, va brosser une fresque sur l’absolutisme et la culture du secret dans un univers sombre et claustrophobique où même le roi ne semble pas être seul au pouvoir et le marquis de Posa se transforme en dangereux politicien opportuniste.
Le génie de l’opéra romantique